BIOGRAPHIE
Après des études littéraires, Hormoz décroche publications presse et expositions collectives à Paris, New York et Sarajevo. S’ensuivent une exposition personnelle « Troubles de l’identité » et un troisième court-métrage « Les lèvres bleues » en 1997, sélectionné dans de nombreux festivals. Ses images se teintent alors d’un érotisme noir et surréaliste.
Années 2000. Hormoz fixe le monde du nightclubbing pour Nova Magazine, e.m@le et De l’air. Un univers nocturne que l’on retrouve en 2008 dans le long métrage « J’ai rêvé sous l’eau » narrant une addiction amoureuse et sexuelle. Sorti dans six pays, le film poursuit sa route dans les festivals.
2009 : l’installation photographie-film « Bestial » et « Fusionnel », conte visuel sur la fusion homme-animal, s’affiche à la Galerie Nivet-Carzon.
Décennie 2010. Les expositions individuelles et collectives à la Maison Européenne de la Photographie, chez Agnès B, Artphotoby-Sophie Leiser et dans des galeries, festivals et foires internationaux se conjuguent à l’édition de deux monographies « Baptême » et « Another ».
Un filtre social se greffe aux nouvelles images sur les SDF, les clubs de vacances et Bourbon Street à La Nouvelle Orléans, et en parallèle, Hormoz prépare depuis 2014 sa troisième monographie « Nourrir l’invisible » lors de séjours immersifs dans les îles du Pacifique.
Ces dernières années, via le soutien des associations Les Couleurs de Pont de Flandre, Cap’devant, la Mairie du 19ème arrondissement et la Ville de Paris, Hormoz construit et expose les séries photo / multimédia « Ajutila » « Il a aurait voudrait » avec des personnes handicapées autour de leur vie affective. Le film « Elle aurait voudrait » chorégraphié par Luigia Riva prolonge cette réflexion à l’ère Covid 19.
Il enseigne également la photographie au centre social et culturel Avara et organise des médiations culturelles et ateliers expositions dans les quartiers prioritaires du 10ème et 18ème arrondissements de Paris et de la région parisienne avec les associations Ook et CRL10 et Cités Caritas.
1996: Hormoz’s photography is shown in French magazines and New York galleries. The short film “Les lèvres bleues (The blue lips)” is selected in festivals. His imagery is erotic, morbid, surrealistic.
In the years 2000, Hormoz covers as a photojournalist nightclubbing issues for Nova Magazine, e.m@le, Qweek and De l’air. Released in several countries, nocturnal feature film “I dreamt under the water” relates the story of a man starving for love. In 2009, the Nivet-Carzon Gallery exhibits “Bestial”, a tale bringing together animal and mankind. “Ajutila” and “He has, will have, would like”, the major following solo exhibitions in 2019-21 about the affective life of disabled persons, has also led to debates including multimedia representations in France, Belgium and New Zealand.
This last decade and until today, aside the monography books “Baptême” and “Another”, Hormoz continues showing pictures at the Maison Internationale de la Photographie, Agnès B and international galleries and festivals, while teaching photography, curating and organizing artistic workshops in Paris and suburbs.
His current work focuses on social issues in narrative choregraphy movies, and “Feed the invisible” a picture book project started since 2014 in the Pacific Ocean islands.