Note de l’éditeur Corridor Elephant
“Hormoz invente ce dont Barthes rêvait pour la photographie érotique. Selon lui, le désir a nécessairement un objet, mais il convient de ne pas en faire l’Objet”. Cette phrase de Jean Paul Gavart Perret résume parfaitement le travail de Hormoz à la lisière de la réalité et de la fantasmagorie.
Les photographies sont accompagnées de deux textes écrits par Jean-Paul Gavard Perret et Axel Léotard.
Lu dans la presse
« Inclassable à la poésie provocatrice, questionnant en permanence les identités, les genres, la force obscure des sentiments et le champ des possibles de la nuit » – De L’Air
Note de l’éditeur Corridor Elephant
Les photographies d’Hormoz sont les émotions brutes d’un monde moderne. Pas d’arrondis mais des angles tranchants qui délimitent le cadrage des émotions saisies ou fantasmées. Le travail d’Hormoz interroge tant sur le monde qui nous entoure que sur le courant photographique de ce début de siècle de par l’opposition qui en ressort. La photographie n’est soudain plus là pour projeter une perfection ou gommer les traits que l’on ne souhaite pas voir conservés sur une image arrêtée, elle est là pour redonner une dimension humaine voire primaire d’une société que rien ne peut aseptiser.
Lu dans la presse
« L’œil d’Hormoz est bien sûr physiologique mais tout autant cosmique » – Le littéraire
« Ce livre regroupe une soixante de photos, aussi variées qu’originales et émouvantes » – Qweek
« le corps aura dépassé le corps réel : il devient foyer de lumière surgi de l’eau lustral » – Salon Littéraire